16 juillet 2018
Le réseau d’agences immobilières Guy Hoquet, créé il y a 25 ans, réunit sous sa franchise 500 agences, qui interviennent sur tous les métiers de l’immobilier. Fabrice Abraham, son directeur général, évoque son réseau et ses atouts.
Quel est l’attrait majeur des agences Guy Hoquet, face à vos concurrents ?
Incontestablement, les garanties que nous offrons au vendeur. Si nous ne vendons pas dans le délai indiqué ou au prix que nous avons estimé, nous appliquons une ristourne sur nos honoraires, qui peut atteindre 20%.
Notre marque est tournée vers le client, c’est sur lui que repose notre objectif de doubler notre part de marché : nous voulons y parvenir en étant la marque la plus aimée. Nous sommes challengers ; c‘est ce qui anime notre esprit de conquête.
Ça passe par le développement du réseau ?
Oui, nous souhaitons ouvrir 100 nouvelles agences chaque année.
Etre aimé des clients, ça passe par des collaborateurs compétents dans toutes ces agences. Comment y parvenez-vous ?
Pour ouvrir une agence, l’entrepreneur devra en passer par 12 semaines de formation et 10 autres dans l’année. Ses collaborateurs suivront au minimum 15 jours de formation. Notre école dispense 7800 jours de formation par an.
Par ailleurs nous accompagnons nos agences sur le plan administratif et financier. C’est peut-être ce qui leur permet d’atteindre une rentabilité moyenne de 18%, assez enviable dans la profession. Ceci en payant une redevance extrêmement modérée.
Pour être aimé des clients il faut aussi communiquer, quels sont vos axes ?
Notre réseau porte le nom d’une personne. Nous voulons que cette personnalisation s’exerce dans notre communication, que nous voulons fondée sur l’humain. Pour nous, l’agence est un commerce de proximité, géré par un voisin, qui connait son quartier et le marché local. Notre communication est ainsi strictement locale, pour chaque agence.
Nous sommes les seuls à utiliser une solution digitale innovante, la robot-rédaction, qui crée un article par jour et par agence, rédigé pour le référencement sur Google et distribué sur les réseaux sociaux. Ce procédé permet aussi une rédaction optimale des annonces immobilières, et il contribue à la création de petits guides du quartier. Les agences qui jouent le jeu en voient déjà les résultats.
Que proposez-vous au vendeur, outre vos garanties ?
Avant même qu’il nous donne mandat, nous lui fournissons un dossier de commercialisation, qui comprend notre estimation du bien, réalisée en comparant son bien avec d’autres équivalents dans son quartier, et nous lui présentons tous les moyens que nous mettrons en œuvre pour vendre son bien, en particulier la vidéo : la plupart des agences utilisent l’appli Easy Movie et réalisent elles-mêmes la vidéo du bien à vendre !
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